TOPIC : Gestion des ressources naturelles
Ressources naturelles comme outil et cible dans la poursuite des Objectifs
du Millénaire pour le Développement.
Contents:
1.
INTRODUCTION
2.
RESSOURCES
NATURELLES
3.
OBJECTIFS MILLENAIRES DE DEVELOPPEMENT
4.
GESTION DES
RESSOURCES NATURES COMME OUTIL ET CIBLE DES OBJECTIFS MILLENAIRES DE
DEVELOPPEMENT
5.
CONCLUSION
REFERENCES
1. Rapport du Sommet sur les objectifs du Millénaire pour
le développement, 20 - 22 septembre 2010 : « La lutte contre la
pauvreté et les inégalités passe par une gestion durable et équitable des
ressources naturelles »
2. Aliou Wane, Exploitation et gestion des ressources
naturelles dans l'ile à Morphil. Etude de cas: l'arrondissement de
Cas-Cas (departement de Podor), Mémoire de Maitrise, Université Cheikh Anta
Diop de Dakar - 2009
3. Rapport de l’ONU, “Goal” contre la mort des mères et des petits enfants.
Des objectifs du Millénaire pour le développement très importants pour les
jeunes, 2000
4. Hamdallah Zedan et Al., A LA UNE,
http://www.cites.org/fra/news/press/2005/050912_statement.shtml
l’une.
5. Lancement d’InforMEA – Portail d’information des
Nations Unies sur les accords environnementaux multilatéraux (AEM) Rapport N°
43402-ZR,
6. Dictionnaire de la langue Française,
2011 (online)
INTRODUCTION
Ce travail s’inscrit dans le cadre du cours de
« gestion des ressources naturelles » dispensé par le professeur
Charles Kahindo dans la faculté d’agronomie au niveau de maîtrise en
Environnement. Le travail consiste à élaborer sur les ressources naturelles
comme outil et cible des objectifs du millénaire de développement. Nous allons
nous efforcer à démontrer comment la gestion des ressources naturelles servent
d’objet sur lequel l’OMD devrait viser à travers ses actions.
Pour circonscrire ce travail il est opportun de
noter qu’au mois de septembre 2000 la Déclaration millénaire des Nations Unies
établissait huit objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Ces
objectifs visaient à donner à la communauté internationale une vision élargie
du développement et un cadre référentiel qui lui permettait de mesurer le
progrès accompli en matière de développement. Au premier rang de ces mesures,
réduire l'extrême pauvreté et la faim, par la gestion des ressources
naturelles.
Avant d’élaborer sur les ressources naturelles comme
objet ou cible des OMD, nous allons d’abord revenir sur les ressources
naturelles et brièvement s’appesantir sur les huit objectifs fixés par OMD.
I.
RESSOURCES
NATURELLES
Une ressource naturelle est définit comme un bien, une substance ou un
objet présent dans la nature, et exploité pour les
besoins d'une société humaine. Il s'agit donc d'une matière première, minérale (ex : l'eau)
ou d'origine vivante (ex : le
poisson). Ce peut être de la matière organique fossile comme le pétrole, le charbon, le gaz naturel ou la tourbe. Il peut s'agir aussi
d'une source d'énergie : énergie solaire, énergie éolienne (Wikepedia, 2011).
Le
concept de gestion des ressources naturelles fait
davantage référence aux façons dont les ressources sont utilisées par une
communauté ou un Etat pour des objectifs de productions forestières, agricoles,
halieutiques ou pastorales. Il s'apparente aux notions d'aménagement du
territoire ou d'organisation de l'espace, tout en ayant une portée plus vaste.
Il inclut toutes les formes d'interventions dans l'environnement ayant pour
finalité l'utilisation optimale d'un environnement donné, dans la perspective
d'un développement durable, qui permettra de satisfaire les besoins actuels
tout en préservant ceux des générations futures.
La notion de ressource naturelle est
considérée d’abord comme ressources naturelles, la biomasse utile et les
« matières premières » , puis les formes d’énergie utiles aux hommes
et en particulier à l’agriculture, à la sylviculture et à
la pêche, puis à l’industrie (bois de feu, traction animale, moulins à vent et
à eau, puis carburants fossiles et enfin nucléaire).
Les ressources dites naturelles peuvent aussi être
classées selon certaines de leurs caractéristiques ressources plus ou
moins vitales(ex : l'air et en particulier l'oxygène issu de la
photosynthèse sont particulièrement vitaux ; tout en étant une ressource
encore très commune).
Les exigences de développement durable ont conduit à
classer les ressources naturelles selon leur caractère renouvelable ou non. On
s'attache ainsi à une utilisation durable des ressources,
afin de respecter les critères environnementaux, sociaux et économiques du
développement durable.
Les ressources peuvent être classées comme étant
« pas, peu, difficilement, coûteusement ou lentement renouvelables »
ou selon un critère de type « remplaçables
/ irremplaçables ».
Plus simplement, les ressources naturelles sont fréquemment classées en deux catégories :
II. BREVE APERCUE DES OBJECTIFS DU
MILLENAIRE DEVELOPPEMENT (APPROCHE ANALYTIQUE)
Comme nous
l’avons épinglé dans l’introduction, les Nations Unies avaient retenu huit
objectifs du millénaire de développent. Nous revenons brièvement à ce qui a
constitué ces objectifs du millénaires :
OMD 1 : réduire de moitié la proportion de la population
souffrant de la pauvreté et la faim
Depuis 1990, le nombre de personnes
vivant sous le seuil de pauvreté (avec moins de 1,2 dollar par jour) est passé
de 1,8 à 1,4 milliard. L’objectif (920 millions en 2015) pourrait encore être
atteint mais les progrès sont essentiellement dus aux avancées en Asie de l’Est.
De surcroît, depuis la crise alimentaire de 2008, la faim a regagné du terrain.
Pour diminuer son impact, l’UE a lancé un programme spécial d’1 milliard d’euros
qui bénéficie à quelque 40 pays vulnérables. Et en 2010, elle a adopté une nouvelle
stratégie pour aider les pays en développement à renforcer leur sécurité alimentaire.
OMD
2 : donner à tous les enfants les moyens d’achever un cycle complet d’études
primaires
Avec
près de 90% des enfants scolarisés, les progrès sont encourageants. Mais 75 millions
d’enfants ne vont toujours pas à l’école, dont 38 millions d’Africains et une majorité
de filles. Plusieurs pays ACP ont lancé des programmes d’ “Enseignement primaire
de qualité pour tous”, soutenus par le Fonds européen de développement.
OMD
3 : éliminer les inégalités entre les sexes
Les
deux tiers des analphabètes dans le monde sont des femmes. Mais la
scolarisation des filles au niveau de l’enseignement primaire progresse. C’est
en Afrique subsaharienne qu’il reste le plus faible, avec 10% des filles qui
n’ont jamais été à l’école. L’accès des femmes au marché du travail s’est
amélioré mais reste souvent limité à des emplois précaires, voire non rémunérés.
Leur représentation politique
augmente
lentement. L’UE finance des actions dans tous ces domaines y compris en matière
de lutte contre les violences sexuelles.
OMD
4 : Réduire de 2/3 le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans
Les
décès d’enfants sont passés sous la barre des 10 millions mais on reste encore loin
de l’objectif. L’UE aide les pays ACP à consolider leurs systèmes de santé, à rendre
les soins essentiels plus accessibles
et
à faire face à la grave pénurie de professionnels de santé. Elle est l’un des principaux
bailleurs de fonds de l’Alliance mondiale pour les Vaccins et l’Immunisation.
OMD
5 : Réduire de trois quarts le taux de mortalité maternelle
De
tous les objectifs, c’est celui qui reste le plus scandaleusement à la traîne.
En moyenne, 1.500 femmes meurent chaque jour de complications liées à leur
grossesse ou leur accouchement. 95% de ces décès surviennent en Afrique ou en
Asie. “Aucun autre taux de mortalité ne va aussi loin dans l’inégalité entre
pays pauvres et développés que celui des femmes enceintes ou en couches”,
relève l’Unicef. L’UE est très active dans ce domaine, tout en soutenant le
Plan d’action de l’Union africaine dans ce domaine.
OMD
6 : Stopper la propagation du VIH/Sida, du paludisme, de la tuberculose
Quelques
33 millions de personnes vivent encore avec le VIH. Le paludisme continue de
tuer près d’un million d’individus par an, pour la plupart des enfants. Dans
les régions touchées par l’infection sidéenne, le nombre de nouveaux cas de
tuberculose augmente. Premier bailleur du Fonds mondial contre ces pandémies,
l’UE contribue à la fourniture de médicaments essentiels, la construction de
cliniques et la formation de personnel soignant. Le Partenariat des
Pays
Européens et en Développement sur les Essais Cliniques joue un rôle essentiel pour
développer les capacités de recherche de nouveaux médicaments et vaccins en
Afrique.
OMD
7 : Assurer la viabilité environnementale.
Il
s’agit d’intégrer le développement durable dans les politiques des pays en
développement et de lutter contre l’épuisement de leurs ressources naturelles.
L’objectif
vise aussi à réduire de moitié la population qui n’a pas accès à l’eau potable
et aux services d’assainissement. Des “Facilités ACP-UE” contribuent à
améliorer l’accès des populations des pays ACP à une eau propre et à
l’électricité. L’objectif concernant l’eau potable est en train d’être atteint.
En revanche, pour réaliser celui de l’assainissement, 1,4 milliard de personnes
supplémentaires devraient disposer, d’ici 2015, de toilettes, de systèmes
d’évacuation des ordures et eaux usées…
OMD
8 : Mettre en place un partenariat mondial pour le développement
Les
pays développés se sont engagés à consacrer 0,7% de leur revenu national à l’aide
au développement. Ils sont encore loin de l’objectif. Malgré la crise
économique, l’UE reste le premier donateur et les sondages (Eurobaromètre)
montrent que les citoyens européens demeurent favorables à la solidarité
mondiale.
III. RESSOURCES NATURELLES CIBLE ET OUTIL DES OBJECTIFS DU MILLENAIRE
POUR LE DEVELOPPEMENT
A la lumière de ce qui précède,
la gestion des ressources naturelles pour une préservation d’un environnement
durable s’imposent comme objet qu’intègrent tous les huit objectifs du
millénaire pour le développement. Il sied important d’analyser d’une façon
particulière d’abord l’objectif sept concentré à la gestion des ressources
naturelles.
L’objectif
sept se propose d’assurer un environnement durable c’est-à-dire exploiter raisonnablement
les richesses naturelles et protéger les écosystèmes complexes dont dépend la
survie de l’humanité. Malheureusement la recherche de développement accompagnée
des innovations quotidiennes et l’ouverture à la concurrence dont état d’une
exploitation humaine qui menace l’atteinte de cet objectif, les terres se
dégradent à un rythme alarmant; les espèces animales et végétales disparaissent
en nombre record; les climats changent, entraînant des risques de hausse du
niveau des mers et d’aggravation des sécheresses et des inondations; les
poissons et la ressource marine sont surexploités.
Intégrer
les principes du développement durable dans les politiques des Nations, inverser
la tendance actuelle à la déperdition de ressources environnementales est donc
un outil et cible incontestable et les indicateurs de réalisation sont entre
autre :
F Émissions de dioxyde de carbone, par
habitant (CCNUCC, Division de statistique de l'ONU) et consommation de
chlorofluorocarbones qui appauvrissent la couche d'ozone (en tonnes de PDO)
(PNUE - Secrétariat de l'ozone)
29. Proportion de la population utilisant des combustibles solides (OMS)
29. Proportion de la population utilisant des combustibles solides (OMS)
F Réduire de moitié, d'ici à 2015, le
pourcentage de la population qui n'a pas accès de façon durable à un
approvisionnement en eau potable
F Réussir à améliorer sensiblement,
d'ici 2020, la vie d'au moins 100 millions d'habitants de taudis
Alors qu’il restait cinq ans pour
s’assurer que le monde a atteint les objectifs du millénaire de développement
le constat est qu’ils sont loin d’être atteints en 2015. Ceci a poussé aux
Nations Unies de s’arrêter et d’évaluer leur mise en œuvre afin de corriger les
tirs. Le sommet s’est par ailleurs accordé que la lutte contre la pauvreté et les inégalités toujours manifestées partout
dans le monde passe par une gestion durable et équitable des ressources
naturelles.
Les huit objectifs,
y ont été présentés comme très ambitieux et cachent des lacunes et des faiblesses dans
leurs cibles et leurs indicateurs. Alors qu’il ne restait que cinq ans pour
atteindre les résultats escomptés, le constat est que les États attribuent les
retards dans la réalisation des OMD aux conséquences à la multiplication des
crises (financière et économique, sociale et alimentaire, climatique). Ces
causes se nomment recherche de surprofits et gestion non durable des ressources.
Les crises ne sont donc pas un accident
de parcours, mais l’indicateur de l’échec de la communauté internationale à
mettre en œuvre les conditions sine qua non du développement humain.
La surexploitation
des ressources fait peser de graves menaces sur la planète. Le modèle de
développement capitaliste génère des conséquences environnementales
(changements climatiques, pollutions, érosion de la biodiversité,…) qui
approfondissent les inégalités sociales et environnementales.
Le rapport du PNUD
2007-2008 tire les choses au claire: le réchauffement global et les changements
climatiques anéantissent les efforts de développement de nombreux pays du Sud. Il est donc vain d’espérer atteindre les OMD
sans une régulation ambitieuse du climat, sans des initiatives plus fortes pour
préserver la biodiversité ou pour gérer plus durablement les ressources
naturelles.
Pour soutenir notre assertion de départ (sujet), il est important de
revenir sur les recommandations des partenaires du programme européen « Une seule
planète » pour une gestion durable des ressources naturelles. Ils souhaitent
rappeler aux Etats signataires de la Déclaration du Millénaire en ce sens :
1. Prendre en considération la gestion durable des ressources
naturelles de façon transversale dans chacun des Objectifs du Millénaire pour
le Développement
La réalisation des
huit OMD passe par une gestion plus durable des ressources naturelles (eau,
air, terre, forêts, ressources extractives, ressources halieutiques,
biodiversité). Lutter contre la faim et l’extrême pauvreté, c’est assurer la
souveraineté alimentaire pour les milliards de personnes qui dépendent
directement de la petite agriculture familiale, de la qualité des terres, des
forêts ou des ressources halieutiques pour leur survie au quotidien. Lutter
contre la mortalité infantile, les maladies et assurer la santé maternelle,
c’est avant tout permettre aux populations les plus défavorisées un accès à des
conditions d’hygiène et de santé minimales, en particulier l’accès à une eau
saine et à des infrastructures d’assainissement.
La gestion durable des ressources naturelles est donc un levier
essentiel pour atteindre les OMD.
2. Mettre en place un partenariat mondial pour le
développement (OMD) qui soit axé sur un modèle plus durable de gestion des
ressources naturelles
Le partenariat mondial pour le
développement doit inclure une meilleure répartition des richesses issue de
l’exploitation des ressources naturelles au sein du système commercial et
financier, ceci conformément aux principes d’éthique de l’environnement et
d’équité dans la répartition des richesses. Les politiques européennes et
internationales doivent se conformer à la reconnaissance du principe de
souveraineté des Etats sur leurs ressources naturelles (résolution 1803 (XVII)
du Conseil de Sécurité2).
Le partenariat mondial
pour le développement doit également inclure des décisions ambitieuses quant à
la préservation de la biodiversité. A la veille de la conférence d’octobre 2010 à Nagoya (Japon)
et de la création de la plate-forme intergouvernementale pour la biodiversité
et les services écosystémiques (IPBES - Intergovernmental Science-Policy
Platform on Biodiversity and Ecosystem services).
Enfin, le
partenariat mondial pour le développement doit mettre en oeuvre une stratégie
permettant de mesurer et réduire la consommation de ressources naturelles dans
les pays riches. Ceci afin que les pays du Sud puissent accéder de façon
équitable à ces ressources et dans une perspective de durabilité.
3. Tout mettre en œuvre pour réaliser les quatre cibles de
l’OMD qui concerne la préservation de
l’environnement
Qu’il s’agisse de
la préservation des zones forestières, de la couche d’ozone, des ressources en
eau douce et de l’approvisionnement en eau potable, de la qualité des terres ou
encore de la diversité biologique, les Nations Unies et leurs différents
programmes (PNUE, PNUD, UN Water,…) disposent d’outils, notamment les
conventions-cadres pour les changements climatiques, la biodiversité, les
droits de la mer, etc. Ceux-ci doivent contribuer à la mise en place des
conditions nécessaires et suffisantes pour la préservation de toutes les
ressources environnementales et l’amélioration des conditions de vie, aussi
bien en régions rurales que dans les villes et leurs banlieues. Les Nations
Unies ont également le devoir de développer de nouveaux outils pour assurer
plus de durabilité et de transparence dans la gestion des ressources : (1)
instaurer un principe de responsabilité juridiquement contraignante et une
régulation internationale des acteurs privés; et (2) favoriser la participation
des citoyens à l’ensemble des décisions pour leur permettre de défendre leurs
intérêts sociaux et environnementaux.
IV. Conclusion
L’importance
de la conservation et de l’utilisation de la diversité biologique pour réaliser
les Objectifs du millénaire pour le développement est déjà reconnue par les
dirigeants du monde à travers leur engagement pour parvenir à une réduction
significative du rythme de perte de diversité biologique d’ici à 2010 - ce
qu’il est convenu d’appeler l’objectif de 2010. Ils ont établi cet objectif
suite au rythme inacceptable auquel disparaît la diversité biologique en raison
des activités humaines. La conservation des habitats, la surexploitation, la
pollution et les changements climatiques sont provoqués par une demande
toujours plus importante pour les ressources naturelles.
Il
est donc on ne peut plus capital de gérer et protéger la diversité biologique
de manière durable, garantir la fourniture continue de biens et services éco-systémiques
et veiller à ce que le monde ait la capacité de s’adapter aux changements
futurs.
A
mesure que les progrès en matière de réduction de la pauvreté et d’amélioration
du bien-être de notre population humaine croissante sont réalisés, nous
comprendrons plus clairement la nécessité à maintenir des écosystèmes qui
fonctionnent de manière efficace. Une large gamme de diversité génétique des
produits agricoles et des animaux d’élevage est essentielle pour garantir
l’adaptation de nos agro-systèmes aux nouveaux défis posés par le climat, les
parasites et les maladies. La bonne santé biologique des milieux marins sera
nécessaire pour nourrir les populations en augmentation constante et fournir
des moyens d’existence aux communautés côtières à travers le monde.
Il
est donc évident que une gestion intelligente des ressources naturelles est
très capitale dans la réalisation de tous les Objectifs du millénaire pour le
développement. La diversité biologique peut aussi aider à soulager la faim et
la pauvreté, à promouvoir la bonne santé humaine, et est le socle permettant
d’assurer la liberté et l’équité pour tous.
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